Ce blog retrace notre circuit de dix jours en mai 2008, de Los Angeles à San Francisco, via Las Vegas et les parcs nationaux de l'ouest américain.

Toutes les photos sont en ligne > Album photo. L'écriture des articles est maintenant terminée. Et, suivant le principe des blogs, ils sont dans l'ordre inversement chronologique. Pour commencer votre lecture, allez directement au début, puis parcourez les messages plus récents. Et revenez régulièrement car vous n'allez pas tout lire en une fois !

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Le Cable Car, le seul monument historique mobile au monde  

Jeudi 22 mai 2008, 10 heures


Un petit trajet en bus, via Franklin Street, nous entraîne au croisement entre Van Ness Avenue et California Street. Si vous voulez "voir" par vous même, et encore une fois je remercie les caméras de Google, suivez ce lien. Regardez bien, dans l'ombre, il y en a un qui est là, à l'arrêt ! Mais de quoi parle-t-il donc, me direz-vous ? Ne vous posez pas de question, et grimpez ! Et s'il n'y a pas de place à l'intérieur, ce n'est pas grave, au contraire, il y en a sur les marchepieds, c'est encore mieux pour ce qui va suivre, faites moi confiance.

Dans le Cable Car pendant la descente de California Street

Bien entendu, et vous vous en doutez, je veux vous parler aujourd'hui d'un incontournable pour les touristes de passage à San Francisco, une véritable attraction, c'est le fameux Cable Car. Vous l'aviez déjà aperçu dans un article précédent où je vous faisais découvrir les rues de San Francisco.

La descente de California Street vaut le détour. Consacrez-y un quart d'heure lors de votre passage. C'est vraiment un minimum, et vous ne le regretterez pas ! Ces tramways à câble sont de véritables pièces de musée. Et ce qui est frappant, une fois à l'intérieur, c'est l'archaïsme du système.

Intérieur de cette vénérable pièce de musée qu'est le Cable Car

Un autre détail étonnant, c'est l'odeur de bois brûlé qui se dégage, principalement aux arrêts. En fait, si vous voulez, je vous explique en quelques mots comment tout cela fonctionne.

D'abord l'idée. Nous sommes en 1869, Andrew Smith Hallidie assiste, médusé, à un accident de la circulation. Il a plu, les pavés des rues pentues sont très glissants. Un attelage vient de se renverser vers l'arrière. Les cinq chevaux qui le tractaient sont morts, écrasés sous la lourde charge. Le père d'Hallidie, un anglais, avait déposé un brevet pour la fabrication de câbles. Cela donne ainsi à son fils une idée qu'il va d'abord tester. Il s'est déjà servi lui-même de tels câbles pour la construction d'un pont suspendu sur le fleuve Sacramento. Et il en a également trouvé une autre utilisation en tractant les wagons de minerai dans une mine souterraine.

Descente de California Street : à gauche, Chinatown et, en face, un des piliers de Bay Bridge

Le 2 août 1873, il lance son funiculaire/téléphérique, sur la colline de Nob Hill, à partir du carrefour entre Clay Street et Jones Street. Et c'est concluant, puisque dès début septembre, on commence à construire cette ligne pour ainsi remplacer la traction animale par des câbles enterrés sous la chaussée. Ensuite les lignes de Sutter (1877) et de California (1878) sont mises en exploitation. Et cela va permettre l'extension de la ville sur les collines et la construction d'autres lignes. Ainsi est né le tramway à traction par câble, autrement dit Cable car on rail, en anglais.

Un système archaïque, mais qui fonctionne toujours !

La technique ? Un câble sans fin enterré sous le niveau de la rue, une poulie à chaque extrémité, en haut et en bas, avec un moteur unique qui entraîne en permanence le câble à la vitesse constante d'environ 15 kilomètres/heure. Les véhicules, guidés par deux rails, s'agrippent au câble à l'aide d'un pince, pour monter les pentes ou sont en roue libre pour les descendre.

Le mécanicien, qu'on appelle fort justement gripman, relâche le câble aux arrêts. Il actionne bien sûr les freins qui sont en fait constitués de cales en bois, et qui s'usent très vite, bien entendu. Sur cette ligne, à l'arrivée au terminus, il descend de son poste de pilotage, et passe à l'autre extrémité de la voiture et de l'autre côté de la voie grâce à un simple aiguillage et c'est reparti ! Sur les deux seules autres lignes qui subsistent, les voitures n'ont qu'un poste de pilotage. Elles sont donc retournées, à la main, à l'aide de plaques tournantes ! Enfantin, somme toute, non ?

Oui, Hervé, nous sommes tous bien descendus. Pourtant on aurait bien aimé faire un deuxième tour...

Ce système a commencé à être remplacé en 1892, lors de la mise en place de tramways électriques, alimentés par des câbles aériens. Lors du tremblement de terre de 1906, la plupart des lignes de Cable Cars ont été détruites et ont été remplacées par ces tramways électriques. puis par des bus. En 1947, le maire de l'époque tente de faire supprimer définitivement ce type de transport.

Mais, sous l'égide de Friedel Klussmann, un comité se crée alors bien vite pour en demander la sauvegarde. Un vote largement majoritaire a lieu qui oblige la ville à entretenir et à continuer à exploiter la Powell Ligne. Cette femme a réussi, par sa persévérance, à faire préserver trois lignes, car elles faisaient déjà partie du patrimoine historique de la ville. L'ensemble a été restauré et révisé dans les années 1980. Et c'est pour notre plus grand plaisir !

101 California Street

Pour la petite histoire, chaque année est organisé un concours entre les gripmans (parmi lesquels une femme, sachant que le métier est vraiment très physique) pour savoir lequel fait le mieux tinter la cloche de son Cable car ! Folklore quand tu nous tiens !

Sachez aussi que le Cable car circule tous les jours entre 6h30 et 23h30 et que sa fréquence est d'environ 12 minutes. Il faut savoir qu'en pratique, seuls les touristes empruntent ce moyen de transport, qui n'est pas des plus rapides, ni des moins chers. C'est sans doute pour ces raisons que seules subsistent trois lignes. Outre celle-ci qui relie Van Ness Avenue à Market Street, il y a Powwell/Hyde et Powell/Mason (voir le détail des lignes).

Transamerica Pyramid, vue depuis California Street

Avouez que nous avons bien fait de faire ce petit trajet tout de même impressionnant dans une des rues pentues de San Francisco. J'en ai même un peu oublié de vous dire ce que nous avons vu d'autre, sur le parcours... Grace Cathedral et Nob Hill, Fairmont Hôtel, Chinatown, et pour terminer tous les gratte-ciels du Financial District.

Il est dix heures trente, et nous retrouvons notre bus qui nous attendait quelques rues plus loin. On continue ?

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Vous en voulez plus ? Vous trouverez d'autres informations et beaucoup de détails sur cette sélection de sites, in english, sorry :

Painted Ladies, les maisons victoriennes san-franciscaines  

Jeudi 22 mai 2008, début de matinée


Ce matin, nous ouvrons les yeux à 7h45. Presque la grasse matinée ! Et encore, le réveil était prévu une heure plus tard... Mais bon, il faut s'organiser.

Après s'être douchés et habillés, nous descendons déjeuner. Et nous ne sommes pas tout à fait les premiers. Nous échangeons nos impressions sur la surprise de la veille au soir qui en a enchanté plus d'un(e)s. Et à propos de la dernière nuit, autant que je me souvienne, il semble bien que tout le monde a bien dormi. Euh, il était temps, non ? Pas de train, pas de climatiseur, pas d'autoroute ou autres nuisances sonores à proximité... Le calme ! Une adresse à retenir, et en prime, c'est en plein centre ville.

Célèbre carte postale Postcard Row avec les non moins célèbres Painted Ladies,
également nommées Seven Sisters

Et aujourd'hui, il faut penser à apporter un soin particulier en préparant les valises pour la dernière fois : il convient de répartir correctement les charges pour passer à l'enregistrement sans problème. Une fois prêts, nous nous rendons dans le hall, où le rendez-vous pour le départ a été fixé à 9h30.

Au programme de cette matinée ensoleillée, un tour de ville, car je crois savoir qu'il y a encore quelques endroits intéressants à visiter avant de quitter les lieux. C'est bon, les derniers arrivent enfin. Ils avaient prolongé la visite de San Francisco by night, et il semble bien que la nuit a été courte pour eux. Oui, oui, j'ai les noms, mais je ne dis rien, car, après tout, c'était bien le dernier moment pour en profiter. Everybody ! C'est reparti.

Cet alignement, 710-722 Steiner Street, a survécu à l'incendie
qui a ravagé la ville suite au séisme de 1906 ainsi qu'aux promoteurs qui voulaient les démolir

Vous le savez maintenant, j'évite de vous perdre en route. Accessoirement, cela vous permet de venir lire régulièrement la suite de nos aventures, ce qui n'est pas neutre pour moi, car cela m'encourage à continuer. Si vous voulez, vous pouvez donc suivre sur le plan. En fait, c'est tout simple et c'est à cinq minutes d'ici.

Il faut descendre Polk Street jusqu'à l'hôtel de ville, situé Civic Center Plaza. Vous ne pouvez pas le louper ! Souvenez-vous : en 1906, le tremblement de terre avait dévasté de nombreux bâtiments dont l'hôtel de ville qui a été reconstruit en 1915 sur le modèle de la basilique Saint-Pierre de Rome. C'est le plus vaste City Hall des États-Unis avec une surface de 46 000 m².

De conception monumentale et grandiose, son style de pur néoclassicisme est qualifié de "Beaux-Arts", comme par exemple de nombreux édifices publics à Paris et aux États-Unis. Son dôme, le cinquième plus grand du monde, imite d'ailleurs celui des Invalides à Paris. Il fait vingt mètres de diamètre et s'élève à plus de 90 mètres du sol. Lors du tremblement de terre de 1989, il s'est décalé de plus de 10 centimètres de sa base. Je vous rassure, depuis, des travaux ont été entrepris afin de le consolider. On ne sait jamais !

Alamo Square et ses maisons victoriennes

Ensuite, on tourne à droite sur McAllister Street puis, en passant par Gough Street, on grimpe Grove Street pour déboucher sur le parc d'Alamo Square. On y est déjà ! Allez, tout le monde descend pour la séance photos !

Ce qu'on remarque d'abord, c'est que c'est une des vues les plus connues de San Francisco, illustrant parfaitement le contraste de cette ville de tradition et de modernité. Depuis cette colline, on aperçoit la Transamerica Pyramid, la Cathedral of Saint Mary of the Assumption, les buildings du Financial District, le Golden Gate Bridge et le Bay Bridge. Et bien entendu, distante d'un kilomètre et demi à peine, la coupole de la mairie est également bien visible. Cela pour la partie moderne.

San Francisco, ville de tradition et de modernité : les Painted Ladies et, en arrière-plan,
la cathédrale, la Transamerica Pyramidles et les gratte-ciel du Financial District

Mais surtout, il y a ici une rangée de sept maisons à l'architecture victorienne typique, construites entre 1892 et 1896 et surnommées les Painted Ladies (Dames peintes) en raison de leurs couleurs vives pour certaines ou pastel, comme ici. On les voit souvent au premier plan des vues (Postcard Row) et des médias vantant San Francisco ou comme décor au cinéma.

C'est le cas dans plus de 40 films, séries télévisées et publicités. Le 710 Steiner Street fait ainsi partie d'un des lieux de tournage du film policier The Dead Pool (L'inspecteur Harry est la dernière cible). La série télévisée Full House en est un autre exemple. La maison la plus à gauche, au 722, a été construite par Matthew Kavanaugh en 1892. Elle a failli, comme ses sœurs, être démolie en 1976 avant d'être finalement (et fort heureusement) restaurée. Ouf ! En 1997, le 712 Steiner Street (la deuxième maison à droite) a été nommée "Meilleure Painted House en Amérique".

Vue depuis Alamo Square, la cathédrale St Mary, en forme de cloche, construite en 1970 (au centre)

Ce type de maison s'est développé pendant l'ère victorienne, tout particulièrement aux États-Unis. Les maisons sont généralement construites en bois de séquoia, ce qui les a préservées de l'incendie qui a suivi le tremblement de terre de 1906. Elles comportent généralement trois étages, une tour et un porche.

San Francisco est l'une des villes où l'on trouve le plus de maisons victoriennes. Ainsi entre 1849 et 1915, quelques 48 000 maisons ont été construites, d'abord de l'époque victorienne (jusqu'à la mort de la reine Victoria en 1901) puis nommée édouardienne par la suite. Il en resterait aujourd'hui environ une dizaine de milliers.

Maison victorienne sur Hermann Street

Je vous ai présenté précédemment quelques-unes de ces fameuses maisons peintes de San Francisco, aperçues lors de nos différents trajets dans la ville. Certaines ont déjà plus de 150 ans, et pourtant elles sont encore bien conservées et toutes pimpantes. Elles sont souvent de trois couleurs, ou plus, afin de souligner et d'embellir les détails architecturaux. Le terme qui les désigne a été employé la première fois en 1978 dans le livre Painted Ladies - San Francisco's Resplendent Victorians des écrivains Elizabeth Pomada et Michael Larsen (voir leur site : Painted Ladies).

Pendant les deux dernières guerres mondiales, beaucoup de ces maisons avaient été peintes en gris, avec les surplus de peinture de la marine de guerre. En 1963, un artiste Butch Kardum a eu l'idée de repeindre sa maison en bleu et vert vifs. Il a d'abord été critiqué, jusqu'au moment où des voisins ont commencé à l'imiter... Puis d'autres artistes ont continué sur cette lancée, et dans les années 1970, un mouvement coloriste est apparu qui se poursuit avec succès de nos jours.

D'autres maisons peintes sur Church Street

Je parle, je parle, mais je n'oublie pas que nous avons un avion à prendre tout à l'heure. Nous ne pouvons donc pas trop nous attarder. Fort heureusement, il y a encore de la place sur les cartes mémoire... Souvenirs, souvenirs... Et voilà, on pourra dire maintenant qu'on y est allé !

Nous reprenons ainsi le bus pour aller visiter un autre quartier. À tout de suite...

Dernière journée à San Francisco  

Jeudi 22 mai 2008

Onzième journée - 55 km : San Francisco CA

Extrait de la journée 10
Jusqu'à la dernière minute pendant cette ultime matinée, très intense, encore [mais qui s'en plaindrait ?], nous allons voir (et faire) le principal de ce qu'il ne faut absolument pas louper lors d'une visite à San Francisco. J'ai nommé, dans l'ordre de cette dixième étape :

  • les Painted Ladies d'Alamo Square, les célèbres maisons victoriennes
  • le Cable Car, le seul monument historique mobile au monde
  • Lombard Street, la route la plus sinueuse des États-Unis
  • le Golden Gate Bridge, une des sept merveilles du monde moderne
  • Twin Peaks avec sa vue sur l'essentiel de San Francisco et sa baie.


Soirée jazz pour un adieu à San Francisco  

Mercredi 21 mai 2008, soirée


Un bus nous attend devant l'hôtel pour nous conduire tout spécialement jusqu'à notre destination de ce soir. En fait c'est à moins de 2 kilomètres. Pour cela, on commence par grimper Polk Street sur 300 mètres, puis à droite sur Ofarrell Street, on descend doucement jusqu'aux abords de Market Street. Et le bus nous dépose déjà dans Stockton Street.

Soirée jazz au Jazz Bistro Live

Les possibilités de dîner au son du jazz sont nombreuses à San Francisco. Il s'y déroule notamment un festival annuel depuis 1982. Hervé a choisi de nous faire découvrir Les Joulins, un Jazz Bistro Live qui se trouve sur Ellis Street. Pour nous y rendre, nous passons devant le célèbre Apple Store, à l'angle des deux rues. Les aficionados d'iPhone® ont bien failli s'arrêter et ne pas nous accompagner... Mais c'était pratiquement l'heure de la fermeture.

Les Joulins se définissent comme étant un restaurant à la cuisine française et méditerranéenne. Il faut bien commencer à se réhabituer doucement au steak frites, non ? Le repas fut très convivial et apprécié de tous dans cette ambiance festive.

San Francisco et Bay Bridge

22h20, déjà. En sortant du restaurant, nous découvrons, garées dans la rue, toute une collection de limousines, blanches et noires, et nous nous sommes empressés de les photographier, avant qu'elles ne démarrent toutes, quelques instants après. On s'y croyait déjà, et certain(e)s d'entre nous étaient déjà prêt(e)s à faire semblant d'y monter, pourquoi ne pas en profiter pour rêver un peu ?

Mais nous sommes partis tranquillement à pied, jusqu'au coin de Powell Street. Ici se trouve une des plaques du Barbary Coast Trail, un chemin balisé de médaillons de bronze qui permet de découvrir, à pied, les principaux sites historiques de la ville de San Francisco.

Puis nous arrivons sur Ofarrell Street où nous retrouvons de nouveau avec surprise les limousines. Surprise est bien le mot qui convient, d'ailleurs, car Hervé nous invite à y prendre place. Désolé, pour ceux qui liront ces lignes, et pour qui ce ne sera plus véritablement une surprise si l'on vous propose cette soirée spéciale... Ceci dit, n'hésitez pas, vous n'aurez pas souvent l'occasion de voir un défilé de six limousines parcourir les rues de San Francisco, et surtout d'en faire partie !

Des limousines devant le restaurant...

Et c'est ainsi que nous allons d'abord nous rendre sur l'Embarcadero pour faire un premier arrêt photos au pied du Bay Bridge. Puis nos chauffeurs empruntent la première partie du pont, jusqu'à Treasure Island, où nous faisons un deuxième arrêt.

Cette île artificielle a été créée en 1939, pour l'Exposition internationale du Golden Gate, par l'extraction des gravats et des matériaux de la baie, et du tunnel creusé à travers Yerba Buena Island et à laquelle elle est reliée par un isthme. C'est ici même que se développe un projet d'utopie verte, une ville sans voitures.

San Francisco, vue depuis Treasure Island

Et là aussi c'est l'émerveillement, rehaussé par - ultime surprise - une coupe de champagne, dégustée avec grand plaisir, avec la vue sur le Bay Bridge et la ville de San Francisco illuminés. C'est magique et cela clôture merveilleusement bien cette ultime soirée. Merci encore à Hervé qui a su nous convaincre d'y participer.

Ensuite, c'est peu avant minuit que les limousines s'arrêtent devant notre hôtel où nous allons nous endormir, les yeux encore plein de lumières scintillantes...

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Vue depuis Twin Peaks - Transamerica Pyramid (à gauche), Market Street (à droite)